Ce mois-ci, Alex Levy, notre préposé à la gestion des droits et au service aux membres, est à l’honneur. Son rôle consiste à guider les nouveaux adhérents tout au long du processus d’intégration, à répondre aux demandes de renseignements de la clientèle et à s’assurer que les éditeurs, auteures-compositrices et auteurs-compositeurs reçoivent leurs redevances. En dehors du travail, Alex est un collectionneur de vinyles passionné qui possède environ 3 500 disques. Lorsqu’il ne fait pas tourner des vinyles, il aime assister à des concerts, jouer au tennis et découvrir les derniers films, les dernières émissions de télévision et les livres.
En tant que préposé à la gestion des droits et au service aux membres, vous interagissez étroitement avec notre clientèle. Pouvez-vous nous en dire plus sur vos fonctions et décrire une journée typique ?
Je définirais mon rôle ainsi : je fais le lien entre la clientèle et la CMRRA. Je suis là pour aider nos clientes et clients au cas où des questions se poseraient au sujet de leur catalogue et m’assurer que leur expérience est fluide et se fonde sur l’accessibilité. Je sers de guide à quiconque envisage de s’affilier à la CMRRA, et ce, tout au long du processus, soit avant et après l’obtention du statut de membre. Les rouages de l’édition musicale peuvent sembler vraiment complexes, surtout si l’on considère l’ensemble de l’écosystème. Travailler avec la clientèle pour m’assurer qu’elle comprend bien le travail que nous effectuons et veiller à que les éditeurs, les autrices-compositrices et les auteurs-compositeurs indépendants reçoivent leurs redevances, voilà ce qui constitue mon quotidien.
Beaucoup de vos collègues savent que vous êtes un collectionneur de vinyles passionné. Qu’est-ce qui vous a amené à collectionner ?
Après mes études de premier cycle, j’ai eu un colocataire qui a apporté une platine avec lui, et cela m’a incité à fréquenter le disquaire du quartier. J’ai un attachement presque romantique à la musique sur vinyle, aux magasins de disques et à l’espace protégé et chaleureux qu’ils représentent pour les obsédés de musique comme moi. Depuis que j’ai commencé à faire tourner des vinyles en 2007, je possède environ 3 500 pièces dans ma collection, et je ne suis pas près de m’arrêter. La plupart des gens connaissent bien cette obsession au travail et en dehors. Après un voyage à San Francisco, ma collègue Brenda m’a ramené un sac fourre-tout convoité « What’s in my bag » d’Amoeba Records ! J’encourage tout le monde (amateurs de musique ou non) à montrer son soutien et à visiter les magasins de disques locaux — lesquels, à leur tour, soutiennent la collectivité. J’ai même traîné ma collègue Cassandra à Hamilton à plusieurs reprises pour aller acheter des disques. Disc Hamilton et Into the Abyss, à très bientôt !
Vous êtes assez passionné par l’immersion des enfants dans la musique et vous offrez souvent des jouets musicaux et des instruments de musique aux nouveau-nés autour de vous. Qu’est-ce qui a inspiré cette passion ?
J’adore faire découvrir la musique aux gens, en particulier aux nouveaux bébés de tous mes amis. Je ne suis pas certain que recevoir des cadeaux qui ajoutent davantage de bruit à la maison soit vraiment ce qui convient aux nouveaux parents, mais je ne peux pas m’en empêcher. Cependant, la recherche scientifique montre que l’expérience et la formation musicales influent sur le développement du cerveau, du langage, des capacités cognitives et sociales des bébés et des jeunes enfants.
J’ai une nièce de deux ans et je me fais un devoir de la gâter. En plus de lui avoir offert un xylophone, des tonnes de bruiteurs, une guitare à une corde et mon vieux piano à 88 touches, j’ai commencé à lui constituer une collection de disques en lui offrant un disque à son anniversaire. Pour son premier anniversaire, je lui ai offert Blue de Joni Mitchell et j’ai poursuivi avec The Discovery of a World Inside the Moone de The Apples in Stereo. L’effet Mozart ayant été contesté, il n’y a plus de limite à ce que les bébés et les jeunes enfants peuvent écouter, et je pense que ma nièce prend un excellent départ.
En dehors du travail, que faites-vous dans vos temps libres ?
En plus d’être un « passionné d’art d’intérieur », j’aime aussi m’activer dehors, au soleil. Je suis un consommateur vorace de musique, de films, de télévision, d’art, de littérature, d’anime et de mangas. Mes listes de lecture, d’écoute et de visionnage sont hors de contrôle. Lorsque j’ai besoin de sortir pour faire un peu d’activité physique, j’aime bien me promener dans le quartier et jouer au tennis. Quel heureux hasard, ma collègue Alexa et moi vivons près de plusieurs courts différents, et nous avons créé notre propre club de tennis non officiel ! Pour être sûr de tenir le coup en balade et sur le court, j’aime aussi aller au gym, qui est devenu pour moi une véritable activité de pleine conscience. L’un des avantages de vivre à Toronto et de travailler dans le domaine de la musique, c’est qu’il est possible d’assister à des concerts en direct. J’ai assisté à une poignée de spectacles locaux sympas cette année avec mes collègues Noah et Nigel, et nous sommes toujours prêts à voir quelque chose d’amusant et d’intéressant. Avec la fin de l’été, être assis dehors au soleil va certainement me manquer, mais j’aurai beaucoup de choses à lire, à regarder et à écouter pendant l’hiver. Je vais peut-être voir si je peux encore chausser mes skis.
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